Lu dans Ceux qui vont mourir te saluent, roman policier de Fred Vargas (Paris : Éditions J’ai lu no 5811, 2001) dont l’action se passe, entre autres, parmi les fonds de la Bibliothèque vaticane :
« Richard Valence avait de l’aversion pour les bibliothèques, parce qu’il fallait s’y abstenir de tout, de faire du bruit avec ses chaussures, de faire du bruit avec ses paroles, de fumer, de remuer, de soupirer, bref de faire du bruit avec sa vie. Il y avait des gens qui disaient que ces contraintes du corps favorisent la pensée. Chez lui, elles la détruisaient instantanément. » (p. 66)
Michel Roberge
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