Lu dans L’homme rapaillé (Gaston Miron, Montréal, Typo, 1998, p. 242) à propos de la survie de la langue française au Québec :
« Si, dans cinquante ans, la langue n’est plus là, ou se retrouve dans une survivance folklorique, notre littérature apparaîtra comme une littérature d’archives. Est-ce bien cela que nous voulons? » (Gaston Miron, 1987)
Il ne reste que 25 ans pour répondre par la négative.
Michel Roberge
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