7 mai 2012

555 – Une littérature d’archives

Lu dans L’homme rapaillé (Gaston Miron, Montréal, Typo, 1998, p. 242) à propos de la survie de la langue française au Québec :

« Si, dans cinquante ans, la langue n’est plus là, ou se retrouve dans une survivance folklorique, notre littérature apparaîtra comme une littérature d’archives. Est-ce bien cela que nous voulons? » (Gaston Miron, 1987)

Il ne reste que 25 ans pour répondre par la négative.

Michel Roberge

Aucun commentaire: