Je vous invite à
lire les derniers mots du 7e paragraphe de
cet article publié le 13 septembre dernier sur le site Web de la Société
Radio-Canada qui semblent être passés inaperçus puisqu’à ma connaissance il n’y
a eu aucune réaction du milieu professionnel canadien ou québécois.
Corrigez-moi si je suis dans l’erreur.
Michel Roberge
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