Étonnant comme titre de titre de billet n’est-ce pas ? Je vous invite à consulter cette page du blogue de Frederik Kaplan qui nous illustre comment des lettrines, des pointeurs, des Smileys, des hyperliens et certaines images ont été utilisés bien avant l’invention de l’informatique pour faciliter la lecture de documents et la « navigation » dans des textes d’une autre époque.
À preuve que cette maxime de l’Ancien Testament (Ecclésiaste I,9) prend ici tout son sens : « Ce qui fut sera, ce qui s’est fait se refera, et il n’y a rien de nouveau sous le soleil. »
Michel Roberge
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