7 oct. 2013

804 - De l’utilisation potentielle d’un coffre-fort numérique organisationnel

Selon l'étude de MARKESS International dédiée aux solutions de coffre-fort numérique qu’il est possible de télécharger en cliquant sur ce lien, l’utilisation d’un coffre-fort numérique pour la conservation de certains documents ayant une valeur économique ou juridique comme les factures électroniques, les contrats, les bons de commande, les bons de livraison ou les bulletins de paie numérisés devrait croître de façon assez soutenue d’ici 2015 : « Au-delà de ses qualités intrinsèques relevant davantage de l’archivage, le coffre-fort numérique commence également à être vu comme un service à valeur ajoutée que les entreprises peuvent offrir à leurs différents partenaires afin d’améliorer leurs relations ». Voir les résultats du sondage publié sur le site Web de l’entreprise.

Sans compter que certaines administrations publiques se proposent d’offrir à leurs citoyens la disponibilité d’un espace numérique sécuritaire. Encore faut-il que le besoin d’un tel service soit bien réel. À Québec, par exemple, à peine 800 citoyens ont manifesté leur intérêt envers un tel coffre-fort numérique proposé par l’administration municipale.

Toujours selon Markess International, un certain nombre de décideurs du secteur public interrogés en 2013 sur les principales raisons d’un recours potentiel à des coffres-forts numériques se répartissent comme suit :

  • 68% Prolonger logiquement le transfert de support
  • 60% Fiabiliser la conservation des documents et réduite le volume de papier
  • 56% Conserver à long terme des documents et des données
  • 44% Se mettre en conformité avec le contexte légal/réglementaire
  • 36% Répondre à une demande interne
  • 32% Diminuer les coûts d’archivage et Optimiser l’accès aux documents.


Plutôt étonnant de constater que l’une des caractéristiques mêmes des documents technologiques étant de favoriser le partage de l’information pour une utilisation efficace et efficiente se classe qu’au bas de l’échelle !


Michel Roberge

Aucun commentaire: