« Entre Chaplin, Borat et Shalim Auslander,
une satire aussi hilarante que grinçante qui nous rappelle que face à la montée
des extrémismes et à la démagogie, la vigilance reste plus que jamais de mise.
Soixante-six ans après sa disparition, Hitler
se réveille dans un terrain vague de Berlin. Et il n’est pas content : comment,
plus personne ne fait le salut nazi ? L’Allemagne ne rayonne plus sur l’Europe ? […] Et, surtout, c’est une FEMME qui dirige le
pays ? ».
Au gré
des jours, il découvre, entre autres, des technologies qui le séduisent, comme
le téléphone portable :
«
C'était Mlle Krômeier qui s'était occupée
de ça. Après avoir réglé toute cette histoire d'ordinateur, elle s'était souvenue
qu'on m'avait aussi donné un téléphone portable. Ce genre d'appareil incroyable
permettait même d'aller sur Internet, et encore plus facilement qu'avec une
souris : il suffisait de toucher l'écran avec un doigt. J'avais tout de suite
deviné que je tenais là un pur produit du génie aryen, et, après avoir tourné et
retourné l'appareil dans tous les sens, j'avais découvert que, effectivement, c'était
la société Siemens qui avait développé cette technique. » (p. 186)
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