J’imagine
que comme moi, l’existence de ce papier traditionnel millénaire d’une
qualité réputée exceptionnelle, fabriqué à la main avec les fibres de l’écorce
du mûrier, vous était inconnu. Grâce à
un article de Kèoprasith Souvannavong publié sur le site Web RFI Les voix du monde, je vous invite vous aussi à en faire la
découverte.
Vous
y apprendrez, entre autres, pourquoi ce support d’information inconnu dans le
monde de la préservation des archives (le papier japonais étant utilisé pour la
restauration des documents) est si résistant ainsi que sur sa longévité. « Il peut résister
mille ans, alors que la durée maximale de conservation du papier classique ne
serait que de deux cents ans. »
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