1. Il rendit systématique l’élaboration de la partition sur 5 lignes.
2. Les notes devaient prendre une place précise sur la portée au lieu d’être inscrites en marge du texte et elles devenaient plus facilement repérables.
3. Il nomma aussi les notes grâce à un moyen mnémotechnique. Il prit les premières syllabes de chaque début de verset de l’hymne à Saint-Jean-Baptiste :
· Utqueant laxis
· Resonare fibris
· Mira gestorum
· Famuli tuorum
· Solve polluti
· Labii reatum
· Sancte Ionaes
Cette méthode a permis de rendre homogène l’écriture de la musique et d’en faciliter la transmission. Ce support de la mémoire musicale a aussi permis à la musique de se complexifier avec le temps, de faciliter le travail des copistes et d’en transmettre toute la beauté. Sources : Francparler.com et Histoire paradoxale de la notation musicale
Sandra Lacroix
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