Paul Otlet, dont il est question dans la notice 24 de Sandra Lacroix, définissait ainsi, en 1905, les documents : ils « constituent le mode de transmission des acquisitions intellectuelles accumulées par l’homme, la mémoire graphique de l’humanité, le corps matériel de nos sciences et de nos connaissances ».
Cité dans Levie, Françoise. – L’homme qui voulait classer le monde. – Bruxelles, Les impressions nouvelles, 2006. – Page 99.
Michel Roberge
Aucun commentaire:
Publier un commentaire