Les organismes ministères et organismes du gouvernement à l'exception du Lieutenant-gouverneur, de l'Assemblée nationale et d'une personne qu'elle désigne pour exercer une fonction en relevantdoivent désormais rendre disponibles, à l’intention du public, un certain nombre de documents à partir de leurs sites Web (soit directement ou par le biais d’un hyperlien vers un autre site). Ces dispositions sont définies dans les articles 4 à 6 du Règlement sur la diffusion de l'information et sur la protection des renseignements personnels de la Loi sur l'accès aux documents des organismes publics et sur la protection des renseignements personnels. Parmi ces documents, on retrouve le plan de classification.
Voilà une belle occasion d’évaluer la qualité de cet outil fondamental de gestion intégrée des documents qui, selon la loi, « indique l’ordre selon lequel les documents sont classés » et qui doit être suffisamment précis afin « de faciliter l’exercice du droit d’accès » aux documents publics. La loi ne le dit pas, mais, d’un point de vue professionnel, il doit être d’excellente qualité.
Aussi, dans mes prochains billets, j’ai l’intention de faire connaître régulièrement mon appréciation des caractéristiques intrinsèques (contenu, logique interne et dénomination des rubriques, niveau de précision…) des plans de classification diffusés sur le Web. À partir d’une grille d’analyse et de principes directeurs qui s’appuient, entre autres, sur les recommandations de la norme ISO 15489 et sur les méthodologies DocumentFaire™ et DFA/ALO™ que j'ai développées, au cours des dernières années, pour l'établissement, entre autres, de schémas hiérarchiques de classification de qualité, je procéderai à l’établissement d’un palmarès des plans de classification diffusés.
Voilà une belle occasion d’évaluer la qualité de cet outil fondamental de gestion intégrée des documents qui, selon la loi, « indique l’ordre selon lequel les documents sont classés » et qui doit être suffisamment précis afin « de faciliter l’exercice du droit d’accès » aux documents publics. La loi ne le dit pas, mais, d’un point de vue professionnel, il doit être d’excellente qualité.
Aussi, dans mes prochains billets, j’ai l’intention de faire connaître régulièrement mon appréciation des caractéristiques intrinsèques (contenu, logique interne et dénomination des rubriques, niveau de précision…) des plans de classification diffusés sur le Web. À partir d’une grille d’analyse et de principes directeurs qui s’appuient, entre autres, sur les recommandations de la norme ISO 15489 et sur les méthodologies DocumentFaire™ et DFA/ALO™ que j'ai développées, au cours des dernières années, pour l'établissement, entre autres, de schémas hiérarchiques de classification de qualité, je procéderai à l’établissement d’un palmarès des plans de classification diffusés.
NB : le premier paragraphe de ce billet a été modifié le 17 décembre 2009. La version antérieure mentionnait faussement que cette obligation visait également des organismes municipaux, de santé et de services sociaux. Merci au collègue du métier qui a attiré mon attention sur la diffusion d'une information inadéquate.
Michel Roberge
Michel Roberge
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