Lu dans Le jaguar sur les toits (polar de François Arango, Paris : Éditions Métaillé, 2011), page 27 :
« La vitrine était sertie dans une boiserie de cèdre. Les longs doigts de Catarina Marín glissèrent sur le rebord. Les codex étaient à l’intérieur, dans ce mausolée de verre, comme les testaments de cultures mortes. Des œuvres d’art aux mille couleurs, que la main d’un scribe avait déposées sur des fibres végétales d’agaves. D’autres étaient faits de peaux d’animaux pliées en accordéon. Signe de leur valeur, une couverture en peau de jaguar distinguait les codex mayas des autres. »
Michel Roberge
« La vitrine était sertie dans une boiserie de cèdre. Les longs doigts de Catarina Marín glissèrent sur le rebord. Les codex étaient à l’intérieur, dans ce mausolée de verre, comme les testaments de cultures mortes. Des œuvres d’art aux mille couleurs, que la main d’un scribe avait déposées sur des fibres végétales d’agaves. D’autres étaient faits de peaux d’animaux pliées en accordéon. Signe de leur valeur, une couverture en peau de jaguar distinguait les codex mayas des autres. »
Michel Roberge
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