De façon générale, dans la littérature, voire à l’écran, les archivistes jouent généralement des rôles plutôt effacés. Dans son roman Dikè ou l’archiviste (Montmoreau : Éditions Les 2 Encres, 2011. 149 pages) Jérôme Bonneau, originaire de La Roche-sur-Yon, met en scène un spécialiste du métier, dont le profil discret en fait tout de même le bras armé redoutable de la déesse de la justice Dikè :
« Vu sa patience […] il est ordonné, méticuleux… Sans doute solitaire. » (p. 76)
[…]
« Il est très discret et sort rarement de la salle des archives. […] C’est lui qui tient à jour les affaires classées […]. Il reçoit les dossiers et il les range… On peut dire qu’il a du boulot! » (p. 85)
Je n’en dis pas plus et vous laisser découvrir cette histoire qui vous réservera quelques surprises.
Michel Roberge
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