Il y a la déclaration universelle sur les archives de l’UNESCO qui ne semble pas susciter un engouement de par le monde. Je lisais récemment que «
les signatures provenant du Canada sont encore moins nombreuses que d’autres pays comme l’Italie et le Zimbabwe ».
Voici une autre déclaration du même organisme découlant d’une conférence en septembre 2012 «
qui avait pour objectif de déterminer les principaux facteurs permettant la conservation et l’accessibilité à long terme du patrimoine documentaire numérique » : la Déclaration de Vancouver intitulée
La Mémoire du monde à l’ère numérique : numérisation et conservation. Un texte qui a probablement plus d’incidence sur le quotidien des organisations vu la croissance rapide des volumes de documents numériques et le défi de leur conservation. On y affirme, entre autres qu’une «
meilleure compréhension de l’environnement numérique est essentielle pour permettre la conception de modèles de conservation numérique conformes aux principes fondamentaux des cadres réglementaires institutionnels, qui contrebalancent l’accessibilité des ressources avec la vie privée, ainsi que l’acquisition de connaissances avec les droits économiques et respectent la propriété du patrimoine numérique. »
À lire, relire, mémoriser, diffuser les constats, les recommandations visant l’UNESCO, les États membres, les organisations professionnelles et le secteur privé. Et à intégrer dans ses pratiques professionnelles.
Un vade-mecum pour quiconque s’intéresse à la conception, au développement, au déploiement et à la maintenance d’un système de gestion des documents d’activité.
Michel Roberge
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