Lu dans
le journal Le Devoir de Montréal,
édition sur papier du 1er juin 2013, page A6, dans un article
intitulé « Folklore numérique :
un défi pour les gardiens de la mémoire » :
« Le discours technologiste alimente ce mythe
que tout le savoir se trouve sur des serveurs et qu’il suffit de passer par un
moteur de recherche pour y accéder. C’est en partie vrai, mais on oublie par le
fait même que les moteurs de recherche ne sont pas de véritables outils d’accès
à la connaissance, qu’ils répondent à des impératifs économiques » avant
ceux de mémoire et de transmission.
100% d’accord.
Michel
Roberge
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