Les TI
nous rendent de grands services. Elles fragilisent toutefois la conservation de
l’information tout en permettant de la diffuser et de la partager l’échelle
planétaire. Avec tous les risques de piratage que l’on connaît.
J’ai
trouvé sur le site Web atlantico.fr cet article intitulé Comment
les Américains ont indirectement ressuscité la machine à écrire
où il est question du « au bon vieux
papier et, qui sait, aux microfilms » comme « meilleur moyen de ne pas se faire pirater ».
On y apprend entre autres que d’après « le quotidien russe Izvestia, le FSB, Service
fédéral de sécurité de la Fédération de Russie, a lancé un appel d’offre pour
se procurer 20 machines à écrire [en réaction aux] affaires de cyber espionnage de ces dernières années - Wikileaks,
Edward Snowden [qui auraient] rendu
les agents de ce successeur du KGB méfiants vis-à-vis du numérique au point de
revenir au papier ».
À la lecture de cet amusant billet de Alain
Chouet qui soulève tout de même la problématique de la vulnérabilité des
supports technologiques, on aura compris que cette « information relève à
l'évidence du gag », bien que l’ensemble du propos porte sur un des défis
des organisations d’aujourd’hui soucieuses de protéger leurs données sensibles
et les renseignements personnelles qu’elles colligent dans le cours de leurs
activités.
Michel Roberge
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