« Plusieurs centaines de
rapports en provenance d’une multitude d’organismes de toute nature sont
déposés chaque année à l’Assemblée nationale du Québec. Sont-ils tous lus ? »
se demande le journaliste qui ajoute que « ces tonnes de papier encombrent les couloirs, les pupitres, les
tablettes et les bureaux du parlement québécois. Pour en finir avec cette avalanche,
ils seront bientôt tous déposés sous forme numérisée ».
Et le bref article se termine sur ce constat qui mérite réflexion :
« Parions que davantage
encore de rapports annuels et financiers ne seront ni lus, ni même consultés
par les élus. »
Michel Roberge
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