« Force est de
constater que personne n’a réussi à mettre en place une stratégie de veille qui
fonctionne, car le temps à disposition n’est pas suffisant. Plus personne n’a
le temps d’effectuer de la veille sur le temps de travail, alors elle se fait
en dehors. Motivés, je vous dis. La discussion en petits groupes a l’avantage
de nous permettre de débriefer entre pairs sur
nos difficultés (par exemple, quand tu te mailes un tweet au travail pour le
lire plus tard, et que finalement tu te le remailes à la maison pour le lire
encore plus tard). Nous ressentons également le même vertige devant la multiplication des sujets : tout d’abord
il y a eu uniquement l’archivage électronique, puis la problématique de la
gouvernance de l’information, puis l’open data, puis les big data… »
Adapté et extrait du blogue Le
présent d’hier et de demain.
À suivre.
Michel Roberge
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