Il
y a bien longtemps qu’on n’avait pas entendu parle du Coffre-fort virtuel
de la Ville de Québec. J’en avais personnellement parlé en mai-juin 2013 en
soulevant des doutes sur son utilité (entendre « une réponse à des besoins »
- mais lesquels ?) :
Un
article récent de Yves Boisvert, dans le journal La Presse, intitulé « Un
coffre à l’ombre de Clotaire » fait le point le plus récent sur ce
projet mort-né d’une solution technologique déjà dépassée au moment de son lancement
en grande pompe et qui n’intéresse toujours pas plus de 800 citoyens. Une belle
illustration de décisions politiques irrationnelles qui reposent sur un écran
de fumée habilement déployé par certains promoteurs de solutions technologiques
qui promettent la lune et qui sont parfois aux antipodes des besoins.
Et
ce danger plane également sur des organisations en quête d’outils informatiques
pour la gestion intégrée de leurs documents d’activités en format papier et
technologiques. Un accompagnement professionnel neutre s’impose afin de faire
un choix éclairé et pérenne.
Quant
au coffre-fort de la Ville de Québec, il a de fortes chances de demeurer
virtuel, comme son nom l’indique.
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