Lu aussi dans Dark Secrets 2 – Le disciple (Hjorth & Rosenfeldt. – Gennevilliers, Éditions Prisma, 2014) :
« Pour un
centre pénitentiaire de cette taille, Lôvhaga disposait d'une Bibliothèque plutôt
grande. Il y avait sans doute plusieurs raisons à cela. La durée moyenne des
peines, plutôt longue. L'horreur des crimes commis. L’idée qu'il fallait
stimuler le développement intellectuel des prisonniers pour favoriser leurs
progrès. La croyance selon laquelle les livres et la connaissance les transformeraient
en hommes meilleurs. Plus la bibliothèque était fournie, plus grand était le
nombre de détenus que la direction pouvait se targuer d'éduquer, ce qui
améliorait du même coup la notation l'établissement. La logique était banale : la
richesse de la bibliothèque supposait une direction compétente et active.
[…]
Le catalogue de la
bibliothèque était composé d'essais et de romans, mail il fallait bien chercher
pour trouver une perle. » (p. 355)
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