Une étude rédente de George Sciadas publiée par la Division des sciences, de l’innovation et de l’information électronique (DSIIE) de Statistiques Canada et intitulée La vie à l'ère numérique tente d’éclaircir, à l’aide de diverses statistiques, certains des résultats et certaines répercussions des technologies de l’information et des communications (TIC). Selon cette étude, le fameux concept de « bureaux sans papier » ne s’est pas encore imposé, car la consommation de papier semblerait plus forte que jamais. Un bel exemple : cette étonnante photographie du bureau de Al Gore!
Personnellement, je considère qu’une approche de Gestion intégrée des documents (GID) dans laquelle je me suis engagé avec mon entreprise a pour objectifs de concevoir, de développer, de déployer et d’évaluer les processus et les outils pour une gestion des documents avec moins de papier. Orienter les choix de création, de réception et de conversion des documents qui émergent dans l’organisation, structurer cette information tangible en fonction des besoins et des activités de l’entreprise (besoins réalisation de la mission et besoins de gestion interne en appuis à la mission), planifier le cycle de vie des documents afin d’assurer la pérennité de l’information stratégique et enregistrer systématiquement l’existence et la localisation de tous les actifs informationnels.
Ceux et celles qui possèdent l’expertise et le savoir-faire pour l’atteinte de ces objectifs et qui sont en mesure d’accompagner les organismes qui souhaitent dynamiser leurs ressources informationnelles sont devenus des architectes de la Gestion intégrée des documents (GID). Un métier qui se devait d’évoluer au rythme de l’évolution accélérée des besoins et des moyens technologiques. Et qui sait, pourrons-nous bientôt parler de « bureaux avec beaucoup moins de papier », un des maillons d’une société plus verte?
Michel Roberge
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