
Selon son évaluation la solution logicielle conviendrait pour des organisations qui ont des besoins minimums en gestion documentaire, qui n’ont pas d’autres dossiers en dehors de SharePoint, qui ont peu de documents en format papier, qui ont des ressources pour procéder à du développement personnalisé dans SharePoint. Sinon, l’organisation devrait envisager l’utilisation de solutions complémentaires à Sharepoint pour combler des besoins plus complexes. Ce qui n’est pas nécessairement une bonne idée dans une optique de GID.
En fait, pour gérer des documents en format papier, le Records Management Guide for Microsoft Office SharePoint recommande de bâtir des collections de documents et de dossiers papier dans une bibliothèque SharePoint et d’y associer les métadonnées requises. Mais ces documents ne peuvent être gérés de la même manière que ceux intégrés à SharePoint.
Toujours selon Brent Gatewood, les coûts en développement et adaptation aux besoins de gestion documentaire peuvent égaler et dans plusieurs cas dépasser ceux relatifs à l’acquisition d’une solution commerciale spécifique de GD.
Michel Roberge (en collaboration avec Anthony Lebel)
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