
Comme ni la signature manuscrite ou électronique ni le code de validation n'apparaissent sur les constats en question, il est impossible que l’émetteur du document puisse reconnaître sa signature, à la demande d’un juge, lors d’une contestation en Cour. L’enjeu est important : en 2008, la Ville de Montréal a émis plus de 135 millions de dollars en contraventions. Si la valeur juridique de ces documents n’est pas reconnue, les citoyens qui contesteraient leurs constats pour enclencher un recours collectif pourraient afin d’être remboursés.
Une affaire à suivre quant à la valeur juridique des documents technologiques.
Michel Roberge
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