Lu dans Ceux qui vont mourir te saluent, roman policier de Fred Vargas (Paris : Éditions J’ai lu no 5811, 2001) dont l’action se passe, entre autres, parmi les fonds de la Bibliothèque vaticane :
« … avec les archives, les ''distractions'' ne sont pas autorisées. Depuis trente ans, aucun mouvement ne m’a échappé ici. De mon bureau, et même si je travaille, je vois tous les lecteurs. S’il se fabrique quelque chose de suspect, je le sens aussitôt. Il y a par exemple des documents qu’on ne peut feuilleter qu’avec des pinces, pour ne pas les tacher. Eh bien, si quelqu’un y pose un ongle, je le sais. » (p. 68)
Michel Roberge
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