À
lire : l’article d’Anne-Marie
Gingras « Access to Information: An Asset
for Democracy or Ammunition for Political Conflict, or Both? », publié dans
Canadian Public
Administration/Administration publique du Canada, vol. 55, no 2, 2012, p.
221-246, disponible à partir du site
Web de Wiley Online Library qui résume ainsi ce texte :
« Plus de vingt-cinq ans après son adoption, la Loi sur l'accès à l'information constitue une source croissante d'inquiétude pour la fonction
publique, les experts, les scientifiques et les médias. Cet article évalue les
problèmes liés à l'accès à l'information depuis les années 1980, la portée
politique de l'information en démocratie et la tension constante entre son
objectif démocratique et sa valeur stratégique. Il se penche aussi sur les
questions de centralisation, de contrôle et de secret gouvernemental au sein de
l'appareil d'État dans un contexte d'exigences accrues de transparence. Avec
l'arrivée au pouvoir des conservateurs en 2006, le contrôle et les conflits au
sujet de la divulgation d'information se sont étendus à une plus grande partie
de l'appareil gouvernemental. De nouvelles questions ont surgi et parmi ceux
qui sont en conflit avec le Bureau du Premier ministre se trouvent les députés,
les agents du Parlement et les comités parlementaires. »
Michel Roberge
Michel Roberge
1 commentaire:
Merci de l'info que je n'aurais pas vu passer sans votre billet. Cela dit, c'est un véritable article « emprisonné » qu'on retrouve sur Wiley ! et qui porte ironiquement sur l'accès à l'information au Canada. C'est malheureux. Le point de vue d'Anne-Marie Gingras m'intéresse beaucoup, mais j'espère toujours [encore trop aujourd'hui] une plus grande « ouverture » et accessibilité lors de la publication de tels résultats de recherche (financée publiquement ou non).
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