
Que ces processus sont appliqués par des
êtres humains, les utilisateurs des documents, avec qui il faut investir le
temps requis à un rythme mesure afin de leur transmettre le savoir et le savoir-faire,
les accompagner dans leur apprentissage et les soutenir dans leurs activités individuelles,
sectorielles et organisationnelles de gestion des informations qu’ils
produisent, expédient ou reçoivent.
Que les solutions logicielles de GID qui doivent
de permettre pour encore plusieurs années de gérer à la fois les dossiers en
format papiers et les documents technologiques (fichiers bureautiques,
courriels…) sont de puissants moyens mis à leur disposition pour automatiser l’utilisation
des outils et dynamiser les processus.
Que l’environnement légal et réglementaire
nous empêche d’improviser ou de nier les obligations qui en découlent.
Michel Roberge
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