Il
m’est arrivé, depuis que j’ai publié en 2011 mon ouvrage sur la conception, le
développement, le déploiement et la maintenance d’une structure classificatoire
des documents d’activité, de me faire reprocher l’utilisation de l’expression « schéma
de classification » en lieu et place de « plan de classification ».
En
lisant dernièrement les résultats des recherches de madame Sabine Mas, professeure
adjointe à l’École de bibliothéconomie et des sciences de l’information (EBSI) de
l’Université de Montréal, j’ai été conforté dans mon choix.
En
effet, dans son étude sur l’impact des pratiques classificatoires personnelles
sur le repérage intitulée Classification des documents numériques dans les organismes (Montréal, Presses de l’Université
du Québec, 2011, l’auteure retient cette expression « couramment utilisée dans les écrits » (p. 15) pour désigner
cet outil qu’elle définit comme étant « une structure généralement hiérarchique de catégories descriptives
visant à faciliter l’organisation, le repérage et l’utilisation d’une
collection documentaire » (p. 16).
Même
la préfacière, madame Louise-Gagnon Arguin, professeure associée à la même
institution d’enseignement universitaire confirme ce choix terminologique.
Michel
Roberge
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Plan de classification: 177 000 résultats
Schéma de classification: 97 000 résultats
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