L’AIIM a réalisé en avril 2014 un sondage auprès de 487
professionnels du domaine de la gestion de l’information et des documents
d’activité provenant d’organisations de toutes tailles : 33% de plus de
5 000 employés, 39% entre 500 et 5 000 employés et 28% de 10 à 500
employés. 74% des participants nord-américains et 19% d’européens. Il est
possible de consulter l’ensemble des données de l’enquête en cliquant
ici dont voici un des constats (traduction libre) :
« Les trois
plus grands risques d’une gouvernance de l'information défaillante sont les coûts
reliés à des questions portées devant les tribunaux, la perte de la propriété
intellectuelle et les dommages à la réputation. 24% des personnes consultées ont
connu un problème de conformité en lien avec des litiges au cours des 2
dernières années. »
1 commentaire:
Une belle étude très ciblée records management (55% des participants), avec une synthèse intéressante et des retours supers intéressants. Mais …
Ce qui est dommage c'est que ce n'est qu'une vue partielle de la gouvernance de l'information, il manque le monde de la donnée, des usages, du savoir, … .
Ce qui fait tout de même une grande partie de ce que l’on peut faire avec l’information d’une entreprise qui existe d’abord pour faire de la valeur, et doit se protéger, pas le contraire (on ne pilote pas une organisation avec le but ultime de la protéger ..)
Nos impératifs et contraintes en France et en Europe sont différentes que celle des US et UK (nous avons une façon disons, plus … latine de gérer les contraintes réglementaires .. ;-)) – D’ailleurs l’étude ne touche que 6% de West Europe (les 19% inclus 12% de UK …) – Dommage aussi, cela fausse notre perception, même pour le records management.
Je comprends qu’il y a un grand mouvement autour de cet « US » Information Governance (approche risque), avec notamment ARMA, et que l’AIIM traditionnellement sur l’ECM, soit un répondant complémentaire pour certains éditeurs.
Bon heureusement nous avons GouvInfo et son observatoire (http://bit.ly/ObservatoireGouvInfo2015) pour nous, qui touche aux organisations francophones, et cherche à garder cette neutralité et vue globale. Un bon complément, non ;-)
Publier un commentaire