L’auteur
y parle, entre autres, des impacts des échanges en format numérique. Il porte
une attention particulière sur la fonction de « Records Manager » qu’il
situe à la croisée des chemins et compare les responsabilités de gestion
documentaire en France et en Amérique axées sur des activités à valeur
ajoutée. Et ce afin d’améliorer « l’efficacité opérationnelle, [de] réduire les coûts, et [de] sécuriser l’information, en structurant la
copie électronique et en ayant recours au stockage à valeur probante, recevable
devant un tribunal ». Il y est aussi question de l’importance de l’identification et de l’organisation
des documents et de la détermination de leur criticité (gestion des risques).
À
souligner la portion de l’article qui traite de la « Problématique
managériale de la fonction », c’est-à-dire de la place du « Records
Manager » dans la structure administrative : « près de la direction générale du fait de son rôle
stratégique et transverse ».
Je vous laisse prendre connaissance
de ce long texte avec lequel je suis pleinement en accord et qui associe
directement la fonction à celle du management organisationnel : une bouffée d'air frais pour le métier. Il est très
rare que ce sujet est traité aussi en profondeur dans les médias. Il fallait qu’il
provienne de la France avec les commentaires judicieux de Michel Cottin (ADBS) impliqué dans
la rédaction des nouvelles normes ISO de la série 30300 et des livres blancs
qui en découlent.
Michel Roberge
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