Je suis de la génération que lorsqu’on avait besoin d’échanger de l’information, trois options s’offraient à nous :
1- Se parler de vive voix.
2- Se parler par téléphone.
3- S’écrire par courrier traditionnel.
1. Le courriel d’affaires n’est pas une analyse exhaustive d’un problème
2. Le courriel n’est pas un outil collaboratif…
3. Parler à tous, c’est souvent n’interpeler personne en particulier
4. Les 10 questions sur trois sujets, avec réflexions philosophiques incluses…
5. Un courriel n’est pas une communication publique!
Je vous invite à prendre connaissance de l’argumentaire de l’auteur.
Michel Roberge
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