« Quel rapport entre la
gouvernance de l’information et la connaissance. Celui, simplement qui base la
connaissance sur l’information, et donc donne un point de vue qualitatif
d’interdépendance entre les deux. L’information est le vecteur de développement
de notre savoir et savoir-faire (connaissance et expérience). On entend très
souvent parler de Knowledge Management ‑ KM (Management des connaissances), de
gestion et capitalisation de connaissances, d’outils collaboratifs, de GED,
etc. Il est possible de visualiser ces éléments très simplement, sous la forme
d’un cycle de vie […] qui associe le
monde de la gestion de l’information avec celui de la gestion du savoir (KM =
Knowledge Management), et bien sûr avec celui des réseaux sociaux. »
« On note que si
l’élément de base est une « petite » information, simple, appelée donnée,
celle-ci évolue pour devenir un élément constitutif d’un réseau de savoir. Les
étapes initiales correspondent à des méthodes de gestion, à des outils et à des
cultures qui sont associées au monde de la gestion de l’information (plus
technique, plus organisationnelle, plus structurée). La partie droite est
associée à la gestion du savoir et savoir-faire (plus humaine, plus métier,
plus complexe, plus liée à la culture de l’organisation, tous ces éléments
induisent des conduites d’accompagnement au changement conséquentes, etc.).
[…] Si on maîtrise la
donnée, on peut apporter une plus grande pertinence pour alimenter la connaissance
et les compétences associées. »
Source : Extrait du livre blanc 2012 de la gouvernance
de l’information réalisé par un collectif de 33 personnes venant de 26
organisations ayant participées à l’observatoire.
Michel
Roberge
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