Lu dans Ceux qui
tombent (Michael Connelly. Paris : Calman-lévy, 2014) cette scène rigolote
à propos de l’opinion de son héros, l’inspecteur Harry Bosh, concernant les documents numériques :
« Le monde entier était peut-être passé au
numérique, mais Harry Bosch n'avait pas suivi le mouvement. Il se débrouillait avec un téléphone et un
ordinateur portables. Il écoutait de la musique sur un iPod et il lui arrivait
de lire le journal sur celui de
sa fille. Mais pour le « livre
du meurtre », il était et resterait toujours attaché au plastique et au papier.
Harry Bosch était un dinosaure. Peu importait que le service s'oriente vers l'archivage numérique et que le nouveau PAB ne comporte plus
d'endroits où coller des étagères pour ranger les gros classeurs bleus qui
constituent ce livre du meurtre. Bosch restait fidèle aux traditions, surtout quand
il pensait qu'elles aidaient à attraper des tueurs. » (p. 143)
1 commentaire:
Dommage... car, ce faisant, il se prive d'un formidable outil de recherche qui permettra, à force de recoupements, de résoudre plus rapidement ses meurtres...
Publier un commentaire