C’est ce que nous rappelle une capsule publiée sur le blogue
de de Bibliothèque et Archives Canada. On y apprend que « depuis 25 ans, des efforts considérables
sont investis dans le but de délaisser les papiers acides qui se détériorent
rapidement au profit de produits plus stables » et que « l’Occident ne produit plus de papier acide, à
l’exception du papier journal » C’est une excellente nouvelle pour les
bibliothèques, les archives et les consommateurs.
L’auteur nous mentionne qu’il est « cependant impossible de garantir la survie à
long terme (plus de 300 ans) de tous les types de papier. Étant donné que les
fabricants modifient régulièrement la composition chimique du papier ».
Je vous invite à consulter ce billet afin d’en apprendre
davantage sur les types de papiers disponibles sur le marché en rappelant que « les conditions ambiantes influent grandement
sur la longévité du papier » et que « la durée de vie du papier double chaque fois que la température baisse
de cinq degrés ».
De quoi conserver nos livres et nos archives dans une glacière!
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