Lu aussi dans
le roman de Ferdinand von Schirach (L’affaire
Collini. – Paris : Gallimard, 2014) :
« Avant de quitter le bureau ce soir-là, il
posa le dossier et l’acte d’accusation sur un chariot en bois destiné aux
dossiers, une desserte avec différents compartiments, inventée par l’administration
prussienne. Le lendemain, elle serait récupérée par un agent, ils appelaient ça
‘déblayer’. On tamponnerait l’acte d’accusation, quelqu’un l’emporterait au
courrier du tribunal régional, et la cour d’assise lui attribuerait un numéro
de dossier. » (p. 78)
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