Dans mon billet 299 – La valeur probante d’un document et la protection de l’information confidentielle publié le 30 août 2010, je soulevais la question concernant l’évaluation de l’intégrité et de la valeur d’un document manuscrit (pièce 7S) déposé à la Commission Bastarache. On a appris hier dans les médias que la commission a eu recours à un « expert en datation et en analyse de l'encre ». À ce propos, je vous invite à lire le bref article du journaliste Pierre Asselin publié dans le journal Le Soleil de Québec qui vulgarise le processus d’évaluation d’un document écrit au moyen d’un stylo à bille.
Michel Roberge
Michel Roberge
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