- Ne pas prendre en considération la valeur de l’information consignée sur un support
- Laisser tout un chacun faire à sa façon
- Démissionner devant l’intrication documentaire
- Improviser dans l’établissement de schémas de classification
- Numériser des documents et détruire les originaux sans contrôle
- Accepter qu’un nouvel employé change à sa façon des méthodes corporatives
- Stocker sur des supports externes des quantités de fichiers informatiques périmés sans sort final préétabli
- Faire circuler des multi courriels avec les mêmes pièces attachées plutôt qu’avec des hyperliens
- Accepter qu’on demande de faire le ménage arbitraire des courriels dit périmés
- Ne rien faire pour intégrer les documents technologiques à la gestion des autres documents
- Acquérir une solution logicielle sans s’être assuré que ses outils de gestion documentaires sont conformes aux besoins et aux bonnes pratiques
- Numériser des séries documentaires avec comme objectif premier de gagner de l’espace
- Accepter que des documents technologiques importants soient stockés sur les postes informatiques locaux
- Ne pas avoir de calendrier de conservation
- Accepter que lorsqu’un employé quitte son emploi, il parte avec des documents
- Mettre de côté les dossiers de la personne qu’on remplace et recommencer en réinventant la roue
- Classer ses dossiers physiques par ordre alphabétique de titres non normalisés
- N’avoir aucun contrôle sur l’emprunt et la circulation des dossiers physiques
- Ne pas avoir de politique de gestion intégrée des documents (GID)
- Laisser les TI gérer le problème
- Penser que tout peut se régler sans appui formel de la haute direction
- Engager des ressources humaines inexpérimentées pour régler le problème
- Aborder la question au niveau local plutôt qu’organisationnel
À suivre…
Michel Roberge
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