- Croire que la technologie règlera le problème
- Gérer l’information en silos : classeurs, boîtes de courriels, serveur de fichiers…
- Imposer des solutions plutôt qu’impliquer le personnel dans le choix et la conception des outils de gestion documentaire
- Ne pas sensibiliser les gestionnaires et la direction
- Ne pas sensibiliser et ni former le personnel
- Éliminer le papier comme support d’information
- Concevoir un système qui s’appuie sur la structure administrative plutôt que sur les fonctions et les activités
- Accepter que les employés disent : ne touche pas à mes documents!
- Démissionner en se disant qu’il n’y a rien à faire
- Continuer à imprimer les courriels et les fichiers informatiques pour les classer dans les dossiers physiques
- Ne pas prévoir de mesures pour la protection des documents essentiels
- Ne pas protéger les renseignements personnels ou les documents confidentiels
- Utiliser des modèles de GID artificiels pour économiser sur les coûts de conception et de développement
- Ne pas réaliser d’audits périodiques de conformité pour assurer la pérennité
- Ne pas mettre à jour ses outils de GID sur une base régulière
- Se laisser guider par le « Moi je pense que » plutôt que par les bonnes pratiques du métier
- Laisser tout un chacun faire le ménage dans ses dossiers sans critères de référence
- Appliquer des règles non officielles pour la durée de conservation des documents
- Ne pas faire affaire avec un spécialiste expérimenté pour réduire les coûts
- Ne pas être en mesure d’identifier qui détient l’exemplaire principal (responsable du dossier)
- Ne pas avoir de cadre responsable, de champion, de documestre™
- Ne pas utiliser de moteur de recherche pour exploiter le déluge accumulé de fichiers informatiques
- Ne rien faire en se disant « C’est trop compliqué »
- Faire le minimum pour répondre simplement aux exigences des lois
Et je suis certain que vous avez d’autres idées…
Michel Roberge
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