Lu pendant le congé des fêtes de Noël dans Un livre sans nom (Anonyme. – Paris : Sonatine Éditions, 2010. 461 p.), un des meilleurs polars que j’ai lu à ce jour et dont on annonce déjà la sortie en janvier et en juin 2011 de deux autres tomes :
« La bibliothèque municipale de Santa Mondega était tout simplement gigantesque : Miles Jensen ne pouvait s’empêcher de se demander pourquoi un trou aussi perdu et pourri que Santa Mondega nécessitait de telles ressources, et en quoi il les avait méritées. D’abord, la bibliothèque s’étendait sur trois niveaux. Plus impressionnant encore, chaque étage était aussi grand qu’une piste d’athlétisme. Il y avait des rangées et des rangées de livres alignés sur des étagères, jusqu’au plafond, haut de neuf mètres. Chaque étage disposait d’une agréable salle de lecture, à l’écart des rayonnages, avec par-dessus le marché distribution gratuite de café part un groupe de serveuses extrêmement aimables, qui se précipitaient dès qu’un lecteur en souhaitait un nouveau. » (page 237)
Quand nos bibliothèques publiques seront-elles aussi accueillantes ?
Michel Roberge
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