Lu dans Numéro zéro de
Umberto Eco (Paris : Grasset, 2015)
« C’est comme l’histoire
de l’ordinateur. Ici, le Commandeur nous a permis d’en avoir chacun un, et ils
sont pratiques pour écrire ou archiver des données. Même si je suis vieux jeu
et ne sait jamais sur quelle touche appuyer. Mais la plupart de nos lecteurs
sont comme moi, et ils n’en ont pas besoin parce qu’ils n’ont pas de données à
archiver. Ne suscitons pas de complexes d’infériorité dans le public. »
(p. 99)
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