Lu dans Mission
confidentielle de Lee Child (Paris : Calmann-lévy, 2015)
Le dossier « faisait
à peu près cinquante millimètres d’épaisseur et était rangé dans une pochette d’une
nuance de kaki. Lisse, immaculée, et présentant à peine quelques marques d’usure.
Des chevrons rouges étaient imprimés à ses quatre angles, dénotant
vraisemblablement un haut niveau de confidentialité. Et elle portait une
étiquette autocollante blanche avec un numéro de dossier du corps des marines
et une date remontant à cinq ans.
Une seconde étiquette
mentionnait un nom.
[…]
Près du coin en bas de
la pochette était collée une troisième étiquette, un peu de travers, arrachée à
un long rouleau autocollant préimprimé.. Elle était sans doute censée mentionner
Ne pas ouvris sans autorisation, mais
elle avait été découpée au mauvais endroit et on lisait en réalité : ouvrir
sans autorisation. La bureaucratie fait
parfois preuve d’humour malgré elle. » (p. 306)
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