Lu
aussi dans Lee Child, La cause était
belle – Une aventure de Jack Reacher (Paris : Calmann-Lévy, 2014) :
« Les anciens dossiers devaient se trouver au
poste de police ou dans un débarras du comté et dans un cas comme dans l’autre,
les bureaux fermaient à la même heure : 17 heures. Il avait une heure. Pas
plus. Rien qu’y accéder pourrait lui en prendre une demie et il y avait
probablement une montagne de paperasse, ce qui lui prendrait beaucoup plus que la
deuxième demi-heure s’il voulait la lire. » (p. 227)
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