Lu dans le
roman de Ferdinand von Schirach (L’affaire
Collini. – Paris : Gallimard, 2014) :
« Dans les bureaux [du département des
infractions graves du parquet], les
dossiers s’empilaient jusqu’au plafond, rangés dans des tiroirs, sur des
étagères, sur des tables et sur le sol, triés d’après un obscur principe, On
rassemblait ici les liasses de documents qui suivaient une mort violente. On
créait des dossiers pour toutes sortes de disparitions, meurtres, homicides
volontaires, décès par explosion ou prises d’otages ayant entraîné la mort. »
(p. 47)
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