Lu aussi dans
le roman de Ferdinand von Schirach (L’affaire
Collini. – Paris : Gallimard, 2014) :
« Sur les étagères, d’innombrables classeurs,
étiquetés et rangés, des bilans comptables, des livres de comptes. Des invitations,
les correspondances privée et professionnelle, classées alphabétiquement et
chronologiquement par année. » (pp. 84-85)
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