Lu aussi dans Mariachi Plaza (Michael Connelly. – Paris :
Calmann-Lévy, 2016).
« L’enveloppe
était pleine de coupures de presse pliées et jaunies, tout aussi fragile que l’organigramme
du gang qu’il avait ouvert la veille. Les plis se déchirèrent dès qu’il les
ouvrit, même très lentement et avec le plus grand soin. Cela se produisait
souvent lorsqu’il reprenait de vieilles affaires, son habitude étant alors de
coller les morceaux séparés sur du papier brun – il y en avait un rouleau dans
la salle des inspecteurs – de façon à enrayer les effets de cette désintégration
et pouvoir replier les articles. » (p.173)
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