Lu aussi dans Mariachi Plaza (Michael Connelly. – Paris :
Calmann-Lévy, 2016).
« En fait d’armoire,
il s’agissait plutôt d’une énorme pièce de rangement où étaient entreposés tous
les livres du meurtre et cratons à éléments de preuve que l’unité des Affaires
non résolues envisageait d’étudier. Il ne manquait pas de place, mais les
affaires étaient si nombreuses que, l’année précédente, le service avait fait
installer un système de rayonnages mobiles comme ceux qu’on trouve souvent dans
les bibliothèques universitaires et les grands cabinets d’avocats. Montés sur
rails, ils peuvent basculer et permettre de ranger plus de choses dans un
espace confiné. Lorsqu’il avait besoin de consulter tel ou tel autre livre de
meurtre, l’inspecteur devait ouvrir à l’aide d’une roue à manivelle la rangée
où il était classé. Toutes les équipes de l’unité pouvaient utiliser les deux
côtés de chaque rangée pour leurs affaires. » (p.90)
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