« - Nous parlions de la feuille trouvée sur le prieur.
Selon vous, elle est ancienne, mais l’écriture ne l’est pas. Pourquoi
dites-vous ça ?
[…]
- D’abord, l’encre est trop foncée, répondit dom Philippe qui, avec
Gamache, examinait la feuille. Le vélin absorbe le liquide au fil des ans et ce
qui reste à la surface n’est plus vraiment de l’encre, mais une tache prenant
la forme des mots. » (p. 185)
Michel Roberge
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